Sonakhor Inuka

Inuka
Prénom : Sonakhor
Âge : 20

Arme de prédilection : Fusarabalète Lourd. Dispose actuellement d’un vieux Canon azur en Najarala du Déluge, auparavant remisé pendant quelques années
Autres armes utilisées : Fusarbalète Léger. A récupéré un Avalanceur (Barroth de Jade) assez ancien de sa famille

Caractère :
« La chasse d’abord, on rira ensuite ». Cette phrase résume assez bien l’état d’esprit de la famille de Sonakhor, chasseurs de la Mer de glace depuis de nombreuses générations. Leur environnement n’étant pas des plus cléments, les actions ont toujours été privilégiées aux paroles dans sa famille, notamment lors des chasses. Sonakhor a beau n’avoir que peu chassé pour la Guilde pour l’instant, l’apprentissage transmis par sa famille se ressent assez fortement en lui : c’est quelqu’un de pragmatique et d’assez avare en mots, surtout lors des chasses où il communiquera plutôt par signes rapides et concis, sauf cas d’urgence. Pour autant, s’il peut sembler très taciturne et à la limite de l’asocial lors des chasses, il est nettement plus social et aimable en temps normal. C’est un jeune homme au caractère assez doux, qui aime prendre son temps et aller au rythme qu’il souhaite. Ayant toujours vécu proche de la nature, il aime pouvoir s’en occuper, même si le climat gelé de son village balayé par les vents du nord ne lui a jamais permis de faire pousser de végétation. Il est plutôt amateur de pêche, et aime beaucoup passer quelques heures penché au-dessus d’un trou dans la glace, à attendre qu’un poisson morde à son hameçon… ou autre chose. A cet effet il dispose toujours d’une de ses armes à portée de main, en toutes circonstances, afin de pouvoir se défendre contre toute menace survenant à l’improviste. Fidèle au rôle de sa famille au village, Sonakhor est un chasseur dans l’âme, et la chasse passe avant tout.

Plutôt solitaire, à l’image de l’habitat gelé qu’il n’a jamais quitté, Sonakhor est une personne chaleureuse si l’on vient lui parler. Plutôt du genre à écouter les gens qu’à se lancer de lui-même, il peut se révéler être un véritable moulin à paroles lorsqu’on le lance sur certains sujets, mais se contentera généralement d’écouter en silence, commentant la discussion de petites remarques, ou plus rarement argumentant sur les points où il est en désaccord. C’est une personne plutôt facile à vivre, mais qui n’hésitera pas à rabrouer ou bousculer ceux qui passent trop de temps à parler. Pour lui les paroles n’ont que peu de valeurs si elles n’ont pas l’appui d’actes, et ce principe dicte la plupart de ses interactions avec les autres : il peut être très compliqué de discuter et d’être d’accord avec Sonakhor s’il sent que la personne en face de lui n’a pas de motivation pour agir. Il est également contre les personnes enclines à considérer la chasse comme un plaisir, ou chassant en-dehors des règles prononcées par la Guilde, de façon illégale. Les sujets environnementaux et relatifs aux monstres sont des considérations très sérieuses pour lui, et à ne pas prendre à la légère.

Enregistré au registre des chasseurs de la Guilde depuis peu, mais entraîné depuis longtemps par sa famille, il n’a d’expérience que dans ses armes, ainsi que dans la connaissance des monstres de la région et de leurs traces. Il n’a pour l’instant jamais véritablement chassé, si ce n’est de petits monstres. Cependant il aspire à devenir un chasseur au moins reconnu dans sa région, et plus tard sur le continent, avec suffisamment d’expérience et de réussites pour atteindre le rang de Maître. Il espère ainsi progresser rapidement sur des chasses dans la région, puis changer d’affectation auprès de la Guilde afin de découvrir le reste du monde, comme ses parents avant lui. Il attend avec impatience le moment où la Guilde lui donnera de quoi faire ses armes et prouver sa valeur, dans l’espoir d’un jour avoir suffisamment d’indépendance pour être écouté et respecté dans les affaires de préservation des ecosystèmes.



Physique : Basé sur celui de Noël Kreiss (FFXIII-2)
Jeune homme, Sonakhor a le visage fin, bien qu’il soit régulièrement battu par les vents gelés qui balayent la banquise. Les cheveux bruns, hérités de ses parents, sont assez longs et tirés en arrière, attachés en queue de cheval. Le jeune homme est très méticuleux sur ses cheveux et refuse qu’un seul d’entre eux puisse gêner sa vision, quitte à les couper de façon inégale. Les yeux sont légèrement à l’intérieur des orbites,  les paupières s’ouvrant assez largement en temps normal. Les lèvres sont peu prononcées, et gercent facilement avec le froid. Sonakhor a été entraîné pour manier des armes de chasseur, mais principalement des fusarbalètes, et en conséquence a les muscles taillés pour ces armes : le dos est bien musclé, ainsi que les pectoraux pour pouvoir tenir les armes assez longtemps. L’ensemble des bras est assez musclé, et comme il vise avec son oeil droit, le bras droit est devenu nettement plus musclé que le gauche, étant donné qu’il porte la majorité du poids des fusarbalètes. La différence est plutôt visible lorsque les bras sont à nus. La morphologie de Sonakhor peut paraître fragile pour un chasseur, même pour un artilleur, mais il n’en est rien en réalité : si les bras et le dos sont les zones les plus développées de son corps, les jambes ne sont pas en reste, entraînées et endurcies par de longues marches dans le froid ou dans la neige en poudreuse.

Le jeune homme est très résilient, capable de survivre des semaines dans des régions glacées, son habitat depuis toujours. Il résiste très bien au froid et à sa morsure, qu’il connaît depuis longtemps. Son corps a appris a économiser et gérer son énergie avec parcimonie, et à restituer le meilleur de lui-même lorsque c’est nécessaire. Son entraînement aux fusarbalètes lui a conféré une bonne vision même dans les conditions difficiles de neige, et une bonne perception du mouvement. Il est ainsi capable de repérer des traces de monstre un peu partout, et serait même capable de pister un monstre à travers une tempête de neige, pour un peu que les traces soient fraîches et que la tempête ne soit pas trop forte – du moins, il pense en être capable bien qu’il n’ait encore jamais eu l’occasion d’essayer...

Histoire :
Né et élevé dans la Mer de Glace, Sonakhor a toujours connu un paysage de neige et de glace autour de lui, ainsi que le froid qui les accompagnent. Etant né dans un petit village, où chaque famille a son propre rôle dans la communauté, lui est né dans la famille des chasseurs et a été élevé en tant que tel. Très jeune il fut initié à ses différents aspects : cela commença par des marches autour du village, sur les portions terrestres pour observer les mouvements des troupeaux, repérer des traces de monstres, récolter les rares herbes qui poussaient. Ensuite il fut intégré aux tâches qui revenaient à la famille, de façon graduelle : d’abord le tannage des peaux, puis la récupération et le nettoyage des os des monstres, la conservation de la viande et des parties plus rares de monstres. Pour l’instant on ne lui permettait rien de plus que les activités liées à la chasse « conventionnelle », celle dont les humains ont besoin pour vivre. Il apprit à transformer les peaux en habits, à repérer quelles herbes poussent où et lesquelles sont utiles à quoi. Son entraînement commença durant la même période, sa famille lui donnant progressivement plus d’autonomie : on lui demandait d’aller vérifier les troupeaux seul maintenant, juste des petites sorties d’abord, puis des marches plus longues, des requêtes pour récolter plus loin, pour relever les petits pièges, ce genre de choses. Il commença à connaître de mieux en mieux sa région, et à en comprendre ses habitants, humains comme monstres. Et lorsqu’il fut assez grand pour soulever une grande épée et la tenir de façon stable, ce fut le début de son second apprentissage : celui de la chasse au monstre.

A partir de ce moment, l’apprentissage commença à varier. Il fut autorisé à aller sur la banquise et à entrer dans ce qui était véritablement la Mer de Glace, là où on trouvait plus de gibier et de ressources, mais surtout là où l’on trouvait le plus de monstres. Les consignes dans un premier temps furent claires : ne jamais s’approcher des monstres, petits comme grands, et toujours être prêt à fuir au moindre danger. Personne ne pourrait le sauver s’il lui arrivait malheur. On commença à l’envoyer chercher des minerais dans les zones encore proches de la terre ferme, il fut aussi mandé pour pêcher des poissons dans des zones assez reculées que le village n’autorisait pas aux autres familles. Il se prit à aimer l’activité, et retourna souvent pêcher, sans que cela soit véritablement nécessaire au village – mais la ressource n’étant utilisée que par lui, elle n’était pas prête de disparaître, et l’on pouvait toujours avoir besoin de poissons, ou alors les revendre aux rares marchands qui osaient venir jusque dans cette contrée, mais qui venaient en connaissance de ce qu’ils pouvaient y trouver.

Dans cet apprentissage on lui apprit aussi à manier les armes des chasseurs, et à lui expliquer le fonctionnement de la chasse telle que la Guilde des chasseurs la définit. Il eut droit au maniement de toutes les armes, afin qu’il puisse être familier avec toutes et puisse se débrouiller un minimum. Sa famille étaient des chasseurs depuis de nombreuses années, et avait réussi à accumuler plusieurs armes de chaque type au cours de leurs péripéties avec la guilde. Tous les membres de sa famille avaient chassé ailleurs un temps, en fonction des occasions proposées par la Guilde ; c’était une sorte de passage rituel, les plus jeunes de la famille des chasseurs devaient s’enregistrer auprès de la Guilde, et il était de coutume qu’après avoir prouvé leur valeur en quêtes ils partent un temps afin de parfaire leur maîtrise de la chasse. Le village n’était pas contre le fait qu’ils ne reviennent pas s’installer au sein de leur famille, cependant il demandait une compensation pour le temps passé à les élever, les entretenir et leur apprentissage : une somme d’argent, un certain nombre d’années de chasse passées dans la région, ou autre chose. C’était un moyen pour le village de survivre, lui qui était au bord du continent, loin des routes commerciales ; il pouvait commercer des ressources et composants assez rares, et pouvait survivre sans ces compensations, mais c’était un juste retour pour tout ce qu’il faisait pour les jeunes chasseurs.

Sonakhor attendait donc son tour pour partir voir le monde et ses monstres. Il se débrouillait de façon moyenne avec les armes qu’on lui proposait, et on ne lui demandait pas plus à condition qu’il ait une ou plusieurs armes de prédilection. Qu’il ne mit pas longtemps à trouver : rapidement il fut évident qu’il savait bien viser avec un fusarbalète, mieux qu’il ne savait brandir une grande épée ou un marteau. Il fut donc entraîné à leur maniement, à leurs subtilités, à leur entretien compliqué aussi. Il découvrit les munitions et leurs différents effets, les différents moyens d’en fabriquer. Personne dans la famille ne chassant activement avec des fusarbalètes, quelques anciens lui enseignèrent toutes les théories mais il dût s’entraîner de lui-même pour trouver et confectionner des munitions. Comme entraînement supplémentaire il dût aussi toujours voyager avec une arme de chasseur sur lui, afin qu’il s’habitue à sa présence et à son poids. On lui donna alors accès aux fusarbalètes conservés au sein de la famille, qu’il utilise encore actuellement.

Il faisait toutes ses requêtes ainsi maintenant, toujours avec un fusarbalète lourd replié dans son dos - « pour s’habituer ». Il transportait aussi sur lui une besace supplémentaire, qu’il remplissait au fur et à mesure qu’il trouvait de quoi fabriquer des munitions. On ne lui donna pas tout de suite des requêtes pour s’en servir cependant, il fut cantonné pendant encore un temps à des activités de collecte ou d’observation. Mais cela ne tarda pas, il obtint rapidement le droit d’éliminer des petits monstres lorsque ceux-ci menaçaient les troupeaux d’herbivores surveillés par le village. Ce fut l’indépendance maximale qu’il pouvait obtenir sans être un chasseur officiel : c’était la Guilde qui devait commander la chasse pour des grands monstres, le village ne voulait pas commander ce genre de requêtes à ses plus jeunes. Il avait tout de même la possibilité de se déplacer seul dans les environs du village et la Mer de Glace, et de récolter toutes ressources dans la limite des quotas du village. Il avait aussi la permission d’éliminer les petits prédateurs des troupeaux que le village chassait pour sa viande et ses vêtements. Ainsi il prenait l’habitude de faire des marches dans la neige, cherchant des lieux à l’abri du vent où il pourrait pêcher tranquillement.

Il avait ainsi trouvé une petite crique, prise dans la glace, où il pouvait pêcher tranquillement. La glace était suffisamment épaisse pour qu’il puisse marcher dessus sans trop de risque, mais pas assez pour qu’il ne puisse pas découper un trou pour pêcher. Le lieu était à l’abri du vent glacial, et n’était occupé que par de rares Pokaras qui doraient au soleil lorsqu’il y en avait. Sonakhor essayait de pêcher sans trop attirer l’attention, gardant son fusarbalète proche de lui au cas où, mais ils n’étaient généralement pas assez proches pour être intéressés par son poisson. Il lui arrivait cependant de leur offrir du poisson de temps en temps, lorsqu’il ne pouvait tout ramener au village, ou lorsqu’il y avait de jeunes Pokas qui s’approchaient un peu trop de lui, il lançait alors du poisson derrière eux afin qu’ils fassent demi-tour et soient occupés. Ils n’étaient pas méchants, loin de là, mais Sonakhor ne voulait pas qu’ils mangent tout le poisson qu’il pêchait, et il ne voulait pas non plus que les Pokaras plus vieux pensent qu’il puisse faire quelque chose de mal, et en viennent à appeler leur Pokaradon. Un jour pourtant, alors qu’il pêchait et avait rempli son panier à moitié, les poissons disparurent subitement de l’eau. Alors que pendant près d’une heure il attrapait régulièrement des poissons, il ne trouvait plus rien du tout depuis près de deux heures. Il ne voyait aucune forme bouger dans l’eau cependant, a priori ce n’étaient pas les Pokaras qui étaient en train d’avaler son gibier, ils n’étaient ni sous l’eau ni même dans la crique aujourd’hui semblait-il. Voyant qu’il n’arriverait pas à pêcher aujourd’hui, et se demandant si cette source était complètement tarie, il commença à remballer ses affaires, et s’apprêtait à partir. Mais sans qu’il ne comprenne ce qui lui arrivait, il fut projeté plusieurs mètres en avant, et atterrit dans un amas de poudreuse qui l’empêcha de se fracasser directement contre la glace. Un peu étourdi, il se retourna, et vit à la place de là où il se tenait précédemment un trou bien plus grand que lui, et un Pokaradon retourné à côté, la bouche béante, une plaie saignante sur le torse. Le corps se soulevait et s’abaissait fortement, le monstre semblait épuisé. Sonakhor n’en avait jamais vu d’aussi près encore, il en avait déjà observé mais seulement à travers des jumelles. Il connaissait leur anatomie mais sans plus, la zone touchée semblait être là où le Pokaradon stocke sa graisse pour résister au froid de l’eau, il ne devait donc pas être très touché, juste exténué. Par curiosité, le jeune homme s’approcha un peu pour voir le monstre de plus près, c’était tout de même son premier contact avec un grand monstre. Il pensait qu’il n’y avait aucun danger, mais même épuisé, le Pokaradon trouva la force de se remettre et de crier avec force, faisant tomber Sonakhor sur ses fesses et rendant ses jambes flageolantes. A sa surprise, un Pokaradon était nettement plus grand que ce qu’il ne pensait jusqu’alors. Et celui, en plus d’être grand, était épuisé et agressif. Il s’approchait lentement, la gueule ouverte et menaçante. Sonakhor voulait fuir, mais il sentait qu’il ne pourrait pas le faire avec le poisson sans qu’il ne soit rattrapé, et son fusarbalète était trop loin pour pouvoir l’aider. Il retira donc le panier de poisson de son dos, et l’ouvrit devant le Pokaradon, déversant tous ses poissons devant lui. Le monstre fit rapidement son choix entre l’adolescent et le poisson, et se rua sur les poissons, les dévorant avidement. Sonakhor se leva sans demander son reste, courut récupérer son fusarbalète puis s’enfuit directement vers le village.

Il y retourna le lendemain, voulant voir si le Pokaradon était toujours là, et s’il n’était plus là si les poissons étaient revenus ou non. Ce qu’il vit en arrivant dépassait son imagination : non seulement le Pokaradon était toujours là, il semblait en pleine forme malgré une sorte de cicatrice en forme de coeur là où était son ancienne blessure, mais la crique était remplie de Pokaras et Pokas, allongés ou jouant autour du trou que le Pokaradon avait fait en sortant de l’eau. Il y avait nettement plus de monstres que ce qu’il avait pu voir d’habitude, et ils ne tardèrent pas à le repérer. Quelques Pokas se dirigèrent vers lui par curiosité, mais les Pokaras commencèrent à rugir, éloignant les Pokas. Les rugissements se transmirent d’un Pokara à un autre, jusqu’à arriver au Pokaradon, qui commença à se tourner vers l’entrée de la crique où était Sonakhor. Il l’aperçut, s’approcha un peu. Puis il sembla le reconnaître, car il s’arrêta, poussa un cri qui s’entendit dans toute la crique mais qui ne ressemblait pas du tout au rugissement agressif qu’il avait poussé hier. Et ensuite il se désintéressa de lui, allant jouer avec quelques Pokas minuscules en comparaison de sa taille. Les Pokaras les plus proches du jeune homme le regardèrent puis s’écartèrent, laissant comme un passage entre eux pour qu’il avance, tandis que les Pokas qui s’étaient approchés de lui au départ revinrent vers lui, le reniflant et poussant de petits cris semblant joyeux. Ils le poussèrent ensuite vers le trou dans la glace, où il y retrouva son panier, intact, ainsi qu’une petite pile de poissons à côté, qu’aucun monstre ne semblait avoir touchée. Le Pokaradon le regardait d’un air neutre, comme s’il attendait qu’il les prenne. Du moins c’était ce que le jeune homme semblait comprendre. Alors il les prit et les rangea dans son panier, avec un petit « Merci », espérant qu’il puisse être compris. Puis voyant qu’aucun monstre ne semblait être dérangé par sa présence, il décida de rester un peu et de les observer en détail. Il eut même l’occasion de jouer avec quelques Pokas, personne ne s’y semblait s’y opposer. Le cri du Pokaradon devait signifier qu’il n’était pas une menace, interprétait-il. Et il eut l’occasion de le confirmer en revenant le lendemain et les jours suivants, le harem du Pokaradon ayant manifestement décidé de s’installer dans la crique où il pêchait. Il put les étudier à tout loisir, ainsi que pêcher sans être trop dérangé, si ce n’est par des Pokas pour jouer ou pour tenter de grappiller des poissons. Ce devint son lieu secret de pêche, que lui seul connaissait. Le Pokaradon semblait le tolérer, il y avait peu d’interactions entre eux, de temps en temps Sonakhor lui offrait quelques poissons mais sans plus. Il sentait comme une sorte de relation timide entre eux, mais il avait plutôt l’impression d’imaginer des choses, et ne savait pas trop quoi en penser.

Quelques années ont passé depuis qu’il a appris à chasser, et maintenant Sonakhor est officiellement chasseur de la Guilde depuis quelques mois. Il va toujours pêcher au même endroit, dans le harem du Pokaradon. La Guilde ne lui envoie pour l’instant que des requêtes de collecte, ainsi que de temps en temps des requêtes pour éliminer des petits monstres, quêtes qu’il a effectuées avec succès. Il attend maintenant d’être envoyé chasser de plus grands monstres, afin que sa propre épopée de chasse commence et qu’il puisse arpenter le monde de la chasse.

Hobbies : La pêche, la marche
Liens Familiaux : Famille & petit village dans la Mer de Glace
Liens Amicaux/Amoureux :
Lien avec un monstre : Lien hypothétique avec un Pokaradon ([url=https://vignette.wikia.nocookie.net/monsterhunter/images/6/66/FrontierGen-Pokaradon_Render_002.png/revision/latest?cb=20140821062147 ]Image[/url])
Lieu de vie : Mer de Glace

Métier/fonction/occupation : Chasseur à plein temps
Rang si chasseur : Bas Rang
Points de vie : 110
Explication des bonus :
Mode de vie +10
Bas rang +0
Autres :


▬ Bllob ▬

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